SAMEDI : Yanneck et Patrick remarquent une activité inhabituelle du côté de l'hôpital Saint-Antoine en rentrant du kung fu. Un policier leur dit de rentrer chez eux. Ils réalisent rapidement que des zombis sont en train de se répandre dans les rues. Ils se réfugient chez Yanneck. Passé un moment de stupeur, ils décident de barricader l'immeuble mais le bruit des coups de marteau attire davantage de zombis qui pénètrent un appartement du rez-de-chaussée par la fenêtre. C'est la panique dans la copropriété. François et Chantal, dont l'appartement a été investi par les zombis, sont accueillis chez Yanneck. Ils commencent à faire le point sur leurs vivres et leur matériel ; ils évaluent également leurs chances de quitter l'immeuble par les toits. Vers 22h30, alors que le voisin zombi rode sur le palier, ils perçoivent un grattement à la porte. C'est Éric qui est parvenu à les rejoindre. Il est paniqué et ne comprend pas trop la situation. Surtout, il ne veut pas ressortir !
DIMANCHE : Après une nuit difficile à entendre les 3 zombis sur le palier taper contre la porte (2 avaient suivi Éric), ils décident d'attendre les instructions des autorités. En effet, les militaires ont commencé l'évacuation de l'Ouest parisien, l'Est suivra...
LUNDI : La seconde nuit s'est mieux passée. Les cris de la voisine du troisième ont attiré deux des zombis du palier. Le troisième tombe dans les escaliers vers 14h et reste coincé au quatrième étage. Éric s'est suspendu par la fenêtre pour réaliser que la voisine du dessous et son chat se sont transformés. Par d'échappatoire de ce côté. Ils décident donc de tenter leur chance par la cage d'escalier (les images leur provenant des évacuations par les militaires les dissuadent de s'en remettre à eux). Yanneck se familiarise avec sa lance et transperce le cerveau de son voisin de palier. Il fait de même avec une femme deux étages plus bas. Éric et François viennent à bout d'un autre zombi avant de quitter l'immeuble. Il y a encore beaucoup de zombis dans les rues. Patrick se voit obligé d'abandonner son scooter. Ils parviennent tous à embarquer à bord d'un camion de pompier et prennent le boulevard Diderot vers la Nation. Après s'être laissé guider par les soldats puis par les carcasses encombrant les routes, ils sortent de Paris.
MARDI : Ils roulent toute la nuit mais ne parviennent pas à contourner l'agglomération. Bien souvent, ils sont obligés de faire demi-tour et Chantal qui commence à avoir de la fièvre... Ils sont également contraints de changer de véhicule et de fuir devant une marée de zombis à proximité de Brie-Comte-Robert. Ils passent encore une nuit à rouler sur de petites routes de campagne.
MERCREDI : Le lendemain, une voiture folle percute les espagnols. Yanneck finit dans le fossé. Le père a le cerveau étalé sur le pare-brise mais la femme et les enfants sont indemnes. Après avoir mis fin au chauffard et sorti la voiture du fossé, ils reprennent la route. Ils n'ont presque plus d'essence et Yanneck met un carburant qui achève le moteur. Un panneau signale une station-service à 2km. Chantal est souffrante et François décide de rester avec elle. Yanneck, Patrick, Éric, Rosita et ses deux enfants arrivent à la station-service. Un véhicule semble en état de marche mais il lui faut le plein et pour ceci, il faut la clef des pompes. Ils pénètrent dans la boutique et sont attaqués par 5 zombis. Éric tente de fuir avec ses provisions mais, voyant Patrick en difficulté, il lui vient aide et perd ses courses. Yanneck a trouvé la clef et foncent vers les pompes. En voyant une dizaine de zombis sortir de la station, ainsi qu'un chien zombi, Rosita fuit à pied suivie de Patrick et Éric. Yanneck asperge les zombis d'essence, allume son briquet et, faisant exploser la station-service entière et tous les zombis présents, met fin à ses propres jours.
JEUDI : Après une longue marche, les survivants aperçoivent une ferme. A leur approche, un chien aboie, il semble y avoir de la vie ici. Un vieux paysan armé d'un fusil de chasse les accueille et une voix familière à Éric retentit : « Ha bah il me semble bien que je le connais çui-là ! Comment y va Jésus ? »