Nous sommes le 22 janvier 1923, 23h passée lorsque l'Orient-Express quitte Milan.

Des rêves traversent les aventures passées de nos investigateurs. Vincent y succombe également et partage les cauchemards de chacun.

Une menace pesante approche, presque matérielle, fétide, nauséabonde.

Après un relativement court en distance mais long trajet en temps, les investigateurs arrivents en gare de Venise.

Ils ont fait la connaissance de Maria Stagliani dont le père vient de décéder. Peu après avoir quitté la gare, ils participeront à la dispute de Maria et d'un homme, Alberto Rossini, à la tête d'un groupuscule fascite.  Ils apercevront aussi Georgio Gasparetti, qui s'averera être l'amant de Maria et accessoirement enthousiaste sympathisant de la jeunesse communiste.

Rossini compte user de son pouvoir pour s'unir à Maria, cependant elle ne l'entend pas de cette manière. Seulement Alberto sait être convaincant.

Le 24 janvier au matin, une puanteur semble remonter des eaux. Les investigateurs passeront la journée à s'informer sur la famille Gremanci. Le soir, un cri dans la nuit les reveilleront.

Le lendemain, ils apprendront qu'un meurtre à eu lieu dans la ruelle. Le diable selon une passante. "Il" l'aurait vidé de son sang. Un message de Maria leur témoigne toute sa sympathie et les convie au funéraille de son père, le lendemain. Durant la journée, ils prendront contact avec Sebastiano de Gremanci et conviendront d'un rendez-vous pour visiter l'antique et familliale fabrique de poupée. Le soir, les statues de la place San Marco pleurent, des larmes de sang.

Le 26, un nouveau meurtre commencera à mettre la ville en ebullition. Les investigateurs sont aussi suspects qu'etrangers. La rumeur court qu'un meurtrier sanguinaire rode et tue tous ceux qui croise son chemin. La puanteur atteint son paroxysme, et c'est dans ce contexte troublé que les funérailles ont lieu. Lors de leur départ, une troupe de chemises noires tentera de les convaincre de rentrer chez eux. 

Les investigateurs découvrent également la salle des archives de la fabrique Gremanci. Seulement la marée empèche l'accès, ce n'est que partie remise. Le soir deux étranges créatures piscoles sont aperçu dans les bras de mer.

Le 27 janvier, un message de Maria les conjure à intervenir. Rossini la tient prisonnière et désire l'épouser mal gré. Durant la journée, ils découvriront dans les archives la trace du simulacre, dans une commande de restauration d'un automate du Palazzo Rezzoniani. Le soir ce sont les émeutes, le feu dans la ville, la fumée, les cris.

Mais les investigateurs parviendront  à déjouer la surveillance des hommes de main de Rossini pour permettre la libération de Maria. Malheureusement, les évènements auront troublé leur vigilance car la muse viendra cette nuit, prendre Miranda Noix.

Le lendemain, se jouant de la maudite horloge mécanique du palais Rezoniani et de son accès difficile, ils s'empareront de la jambe du simulacre sur l'automate Turc et fuiront vers leur prochaine destination tandis que le clocher s'effondre dans un vacarme assourdissant , non sans voir une ombre ailée les épier de loin.

Sur le quai ils quitteront Maria et Georgio, heureux de s'enfuir de l'etat fasci. 

Nous sommes le 28 janvier près de minuit lorsque l'Orient Express quiite enfin Venise.