Les investigateurs quittent en hâte Zaghreb du rêve tandis que les 7 coups de cloches sonnent.

Le chiffre 7, le chiffre magique, celui qui annonce l'aurore, l'accomplissement des prophétie et l'emprisonnement des rêveurs dans cette éternité voilée.

Arrivant à rejoindre à temps l'Orient-Express, Amanda, Pierre-Yves et Thérèse trouvent leurs compagnons endormis.

Un sommeil qui durera de nombreuses heures. Malgré tout, ils se réveilleront dans un hôpital affublé d'une nouvelle malédiction.

A l'arrivée à Belgrade, un jeune homme Petar Ritticht leur offre ces services et les conduit à l'hôtel Excelsior.

Peu après ils se lancent en quête du fragment du simulacre.

Dans le bazar adjacent le musée national, Vrocha la diseuse de bonne aventure leur prédit un avenir funeste.

Pourtant, la chance leur sourira lorsqu'ils dégoteront un bras dans le bazar. Mais celui-ci n'est qu'une pâle copie.

Aidés par le Dr Milovan Todorovic et munis d'une autorisation du Bureau des trésors nationaux, ils rejoindront Oraszac pour rencontrer le père Filipovic.

Le chef du village, Todor Nedic les reçoit à leur arrivée. Filipovic leur confie que "grand-mère" est une riche collectionneuse d'antiquité et que les aventuriers trouveront auprès d'elle leur bonheur. Avant de partir, Eléonore se voit confier un mystérieux peigne en os qu'elle devra jeter à terre le moment venu...

A la petite chaumière, une jeune femme les accueille, Kcerca et leur dit que sa grand-mère sera bientôt de retour.

En effet, celle-ci arrive peu après et les guide dans leur exploration de sa collection privée. Bientôt le simulacre est localisé, mais les évènements tournent au cauchemard. Des murs sortent des bras, des os, du toit, des cheveux. Kcerca à activer le foyer et Baba Yaga attrape Pierre-Yves pour l'y enfourner. Bientôt la maison s'ébranle et les investigateurs se sauvent de justesse.

Sautant de la maisonette qui commence à se soulever, ils manqueront de se faire écrasé par celle-ci qui commence à les poursuivre, perchée sur de gigantesques pattes de poulets.

Baba Yaga les attaque aidée de son pillon et de son mortier volant. C'est alors qu'Eleonore lance le peigne à terre et bientôt de gignatesques arbres munis de tentacules se jettent sur Baba-Yaga, leur permettant de fuir.

Traversant la forêt et les plaines, ils parviennent à un village où une multitude de poulets noirs s'abbat sur eux et fini  par avoir raison de Thérèse.

Bientôt dans le train, ils aperçoivent au loin une maison poursuivre le chemin de fer et une ombre de mortier devant le clair de lune...