Vincent se souvient d'Istambul :
« C'était le 19 février 1923. Nous arrivions à notre destination. Nos bagages ne nous suivirent pas et nous avions craints d'avoir perdu le simulacre. C'était une erreur de la compagnie des Wagon Lits... Ouf ! Nous étions à la recherche de la mosquée du bout du monde. Dans la ville, de mystérieuses disparitions d'enfant avaient mis la police sur ses gardes.
Nous découvrîmes au musée de Topkapé, que la dernière personne à avoir consulter les parchemins de Sedefkar était un certain Sélim Makryat. A leur place un mot : L'écorché réclame ce qui lui revient de droit. Maudit soit Garaznet le voleur. La nuit un gitan et un ours nous apparurent...
Le lendemain, nous aidâmes Sir Douglas Rutherford à retrouver son petit garçon, enlevé. Ceci nous conduisit auprès de Beylab, le transpirant, qui ne tarde pas à se faire assasiner par un employé puis à se fondre en une chose de chair que nous finiront par détruire. Il aura seulement eu le temps de nous indiqué la tombe de ce Garaznet située dans le cimetière d'Uskudar.
Il nous faudra prendre le bateau pour y arriver. Dans le cimetière, nous localisons facilement la tombe de Garaznet. Mais point de rouleau mais encore une chose de chair ! Bientôt le piège se referme et nous fumes capturés par Selim Makryat et ses 40 sbires, qui veulent le simulacre.
Il finira par libérer une bête de chair constituée de jeunes enfants cousus entre eux et lié par une chair liquide et visqueuse, qui roule avec ses petites mains et ses petites jambes. Sauvés de justesse, nous avons fuit vers la mosquée rouge tandis que Selim s'emparait du simulacre.
L'entrée secrète se trouvait dans les citernes de Yerebatan. C'est le gitan Aktar qui nous aida à la trouver. Nous passâmes dans des lieux sans noms ou les corps sont préparés pour leurs affreux rituels, jusqu'au centre de la mosquée où survint le coup de théâtre : Mehmet qui tue son père et s'empare du simulacre au cours d'un rituel. C'était Aktar.
Nous nous fîmes à nouveau capturer et jeter dans les cellules du minaret où nous retrouvâmes le professeur Smith. Nous étions à nouveau sous le coup d'une malédiction : ayant perdu la protection du simulacre, nos corps se decomposerait et nous avions 100 heures pour faire le rituel de purification et y échapper. Enfin, grâce au fantôme de l'homme ailé, nous nous échappions et courûmes jusqu'à la gare, où les vapeurs du Simplon Orient Exprès s'élevait déjà ! »
Pierre-Yves se souvient de la Bulgarie (la tête) :
« Nous somme arrivé à Sofia le 10 février 1923. Un frère de la chair me priva à jamais de la vision stéréoscopique ! Qu'il périsse en enfer ! Nous trouvâmes rapidement la tête mais nous la fîmes déroiber à notre nez et à notre barbe. Je fus alors pris de visions et c'est gràce à celle ci que nous finîmes par débusquer celle-ci dans les cavernes d'Iskur. Elle gisait sur un tas de cadavre. Un massacre y avait été perpetrer par cette imonde créature : le comte Fenalik !
Nous l'affrontâmes malgré ses différentes ruses pour nous soustraire le simulacre. Il usait de tous ses talents, hypnotisme, changement de forme, ses talents de vampire ! Nous finîmes par le vaincre comme on vaincq un vampire. En lui plantant un pieu et en lui coupant la tête ! »
Eléonore se souvient de la Serbie (le bras droit) :
« Vous rappelez de cette petite chaumière dans les bois ? Après avoir quitter en hâte cette Zaghreb du rêve tandis que les 7 coups de cloches sonnaient ? Certains de nous ne parvinrent pas à sortir de ce cauchemard à temps et leur sommeil dura de nombreuses heures. Arrivés à Belgrade, avec l'aide de ce jeune homme, Petar Ritticht me semble-t'il, nous avons fait le tour du bazar : Vrocha la diseuse de bonne aventure, et puis cette pâle copie d'un bras du simulacre.
Puis aidés par le Dr Milovan Todorovic, nous avons rejoint Oraszac pour rencontrer le père Filipovic, en qu?te de ce fameux bras. On appris alors l'existence de cette "grand-mère", une riche collectionneuse d'antiquité. Chez elle, au fin des bois, sa petit fille, Kcerca, nous accueillit. Et bientôt cette vieille femme, qui nous aide d'abord à localiser le simulacre mais bientôt voudra enfourner Pierre-Yves dans un gigantesque four.
Vous rappelez-vous enfin comment nous avons échappé de justesse à cette maison vivante, avec ces gigantesques pattes de poulets ? Cette BabaYaga qui nous attaquait, volant dans mortier à l'aide de son pilon ? C'est gràce à mon mystérieux peigne en os qui fit apparaître ces sombres rejetons, que nous avons réussi à fuir ! Mais nous n'en avions pas fini avec Baba Yaga. Bientôt, un vol de poulets noirs nous attaqua et l'ombre de cette sorcière et de sa maison suivirent le train jusqu'à notre de départ de Serbie, le 8 février... »
Eléonore se souvient de Zaghreb :
« Je me souviens de Zaghreb, c'était le 3 février 1923. Cette ville que nous avons visité par le rève. Je me souviens de ce personnage que nous suivions parmi les tours et les cloches, les différentes énigmes et périls que nous avons du surmonter. Nous y avions trouvé le journal de ce fou, J.P. Drapeau. Enfin nous trouvions cette homme, ce squelette dont le savoir emplit nos coupes vides de connaisances interdites. Puis ce fut le son des cloches et la folle fuite de ce pays maudit ! »
Vincent Lecarde se souvient de Triestre (la jambe droite):
« Je me souviens d'un souffle de vent glacial. C'était le 29 janvier 1923 lorsque nous arrivions à Triestre. Dès notre arrivée il nous saisi et nous accompagna durant tout notre séjour. J'ai l'impression que dès fois, il m'accompagne encore...
Nous devions rencontrer Johann Winckelmann au musée de Triestre. Mais celui-ci etait mort. Nous avons récupéré son journal auprès de l'un de ses descendants. Dés lors, ce fut rapidement un cauchemard à l'hôtel : les tables volaient, la vermine grouillaient dans la viande, le vin se transformait en sang, les bougies s'allumaient toutes seules, ainsi que le feu dans la cheminée, les oreillers voltigeaient, les couettes s'éventraient et pour finir les fenêtres s'ouvraient, laissant s'engouffrer le vent glacial, encore...
Seul épargné, Pierre-Yves Le Duc, celui qui gardait le journal. Le fantôme de Winckelmann ne tarda pas à nous rejoindre et nous conduire jusqu'au médaillon qu'il devait conduire à Postumia avant d'être assassiné. Je m'en saisi. Dans les grottes de Postumia, nous avons trouver une caverne où un Lloigor nous réclama le médaillon. Nous avons alors découvert la jambe du simulacre et fuit devant ce gigantesque reptile. »
Amanda se souvient de Venise (la jambe gauche):
C'était le 22 janvier 1923, à Venise. Vincent Lecarde est aux prises avec d'affreux cauchemards... nos cauchemards. Nous avons rencontrer Maria Stagliani harcelée par cet Alberto Rossini, à la tête d'un groupuscule fascite. Et Georgio Gasparetti, l'amant de Maria que nous nous proposions d'aider. De terribles meurtres, une puanteur nauséabonde, et pour finir une révolte écrasera la ville. Dans ce contexte il nous fut difficle d'enquêter sur la famille Gremanci et la fabrique familiale de poupée. C'est au Palazzo Rezzoniani, que nous découvriront la jambe du simulacre sur l'automate Turc de la maudite horloge mécanique et que nous apercevrons l'ombre qui nous suivait... Faute de notre vigilance, la nuit du 27, la dixième muse nous prit Miranda Noix. Enfin nous laissions derrière nous deux jeunes amoureux ! »
Pierre-Yves se souvient de Milan (le buste) :
« C'était le 19 janvier 1923. Nous avons rencontrer Vincent Lecarde qui décida de se joindre à nous.
On nous observait, on nous suivait, oserai-je dire on nous traquait, depuis Paris, c'était évident ! Milan. L'annulation de la repésentation du lendemain. L'enlèvement de la Cavollaro.
Mais bientôt elle fut de retour, du moins sa voix, nous amenant de la Galleria jusqu'aux coulisses de la Scala.
Puis ce fut la représentation et cette magnifique voix de la Cavollaro qui s'élève... de la bouche de ce vieillard apperçut plus tôt dans la cathédrale ! et sur scène cette armure... su le torse du simulacre ! Nous avons été plus rapide que ce vieillard à nous en emparer !
Et vous rappelez vous du malheureux sort de Jacques Bontrant, qui tua ce vigile ? »
Jacques Bontrant se souvient de Lausanne (parchemin de la tête) :
« Bonjour mes amis ! J'ai surpris votre conversation et je me permet d'y ajouter quelques détails qui je pense ne sont pas connus de vous.
Je fut arréter et enfermé en prison pendant quelques jours. Ayant sympathiser avec un détenu, avec l'aide duquel j'ai réussi à m'évader. Quelques jours encore pour trouver des faux papiers qui me permirent de passer la frontière et je me lançais à votre suite. J'ai eu de la chance jusqu'ici de ne pas succomber à la malédiction de la dixième muse. »
« Et moi aussi je me souviens. Je me souviens de Lausanne, et de cette arrivée en compagnie de la Cavollaro. Hull découvrit durant ce séjour un précieux livre : "Ansprechen Kulten" !
Nous devions rencontrer Edgar Wellington afin de récupérer le parchemin de la tête. Mais le Duc des Esseintes était lui aussi intéressé. Je me souviens de sa demeure et de cette porte vers une autre réalité ! Une Lausanne moyenageuse, sombre et sordide, avec des potences et leurs gibiers... Je me souviens de ces rencontres : , un vent froid et glacial s'échappant d'une faille. D'une troupe constituée d'un ange, de la mort, d'un lion, d'un soldat, d'un lion, d'un turc, d'un assassin, d'un paysan et d'une paysanne. Cette rue couverte de roses rouges. Cette vieille femme et sa soupe où nagaient des membres humains. Cet homme disparaîssant dans un chapeau, membre après membre.
Ce gigantesque échiquier, et cette gigantesque statue de barbelé couverte de lambeaux de chair se mettant à chanter d'une voix magnifique.
Puis ce procès, avec le prince Puzzle, où nous sortirons vainqueur ! Nous avons fuit avec le parchemin, et nous avons tromper une dernière fois le Duc en lui donnant un faux parchemin ! »
Thérèse se souvient de Paris (bras gauche) :
« Nous étions le 7 janvier 1923 à Paris. Nos recherche nous amenaient dans la direction d'un certain comte Fenalik. Son château en Poissy sur Carrière, et sa dernière demeure, un asile à Charenton.
Au château, ou du moins ce qu'il en restait, nous avons rencontré la famille Lorien. Il nous écouta et nous surpris en nous donnant une lettres d'un certain Wellington, nous étant plus ou moins destinée ! Il nous permit de fouiller son domaine. Au fond d'un souterrain, nous découvrîmes un rosier brillant de lueurs fantastiques, et à ses pieds un bras... Le premier morceau du simulacre que nous avons découvert.
L'asile quant à lui, nous permis de découvrir d'étranges informations sur le comte. Jacques Bontrant restera en garde à vu mais ne tarda pas à nous rejoindre. »
Amanda se souvient de Londres:
« Le dimanche 31 décembre 1922 se tenait la conférence-banquet du "Challenger". C'était le professeur Arthur Julius Smith qui en était l'invité d'honneur. Nous étions tous présent : Miranda Nois, P.Y. Le Duc, Jacques Bontrant, moi Amanda Lesueur, Thérèse Durant, Eléonore Tillier, Henri Capdeville, Mr Jean Fonsloin, Sir Welton Charles Hull, Archibald Broose, Marvin Douligan, et Augustin Pierrepont.
Puis vint l'incendie et la mission qui nous fut confié par le professeur dans un état critique : retrouver les morceaux du simulacre de "Sedefkar". Il ne s'agissait pas du professeur, nous le savons maintenant mais de cet infâme Mehmet Makryat ! Celui-là même qui fut retrouver trois fois mort et pour lequel nous nous vîmes enquêter sur ce Henri Stanley et son maudit train électrique.
Après l'avoir activé, certain disparurent à bord d'une apparition de train, et rencontrèrent Randolph Alexis aux prises avec des zombis ! Reconstituant le parcourt du train électrique à l'aide d'organes et de viscères, il réussiront à reproduire le rituel et à se sauver de ce piège et de son univers de cauchemard.
Beddows, le fidèle serviteur du professeur Smith était mort avec un avertissement : On ne trompe pas l'écorché... »
Pierre-Yves Le Duc se souvient de Paris:
« C'etait le dimanche 17 décembre 1922, à 4h. Je me réveillai dans une obscurité totale mais je n'était pas seul. Un homme et quatre femmes partagaient avec moi l'intimité d'une cave.
Nous étions amnésiques. Nous recouvriront peu à peu nos souvenirs, même ceux dont il ne fallait pas se souvenir : la dixième muse ! la muse de l'horreur et de l'effroi, les différents décès, le cycle de un mois, une semaine et un jour.... Le 20, nous évitions la malédiction une première fois. »