La formation d'un groupe d'investigateurs motivés pour cette campagne fut difficile. Les recherches sont d'ailleurs encore en cours ... Alors futur investigateur, es-tu prêt à relever le défi ?
Quoiqu'il en soit, jetons un oeil sur les quelques investigateurs ayant répondu présent à l'appel de la création du PJ.
Jean Fonsloin (1887-)
Fils d'un maître charpentier sur le chantier de Violet Le-Duc et de la fille d'un ancien maire de Carcasonne, je suis poussé vers les études par mes parents et ma passion de l'histoire. Après deux ans en facultées d'histoire, j'entre à l'école normale. A 27 ans, je suis embauché par les affaires étrangères qui souhaite renforcer ses effectifs face à l'éventualité d'une guerre. Je voyage aux Etats-Unis d'amérique pendant trois ans durant la guerre, en mission diplomatique où je lie amitié avec un fonctionnaire de Washington. Mon travail m'amène alors en afrique du nord, plus particulièrement en Algérie, où je suis vice-consul pendant deux ans. Je rencontre là-bas une jeune femme qui disparaît le jour de nos noces. Je réalise alors que je ne souhaite pas devenir ambassadeur ni me fixer, mais que je préfère les missions diplomatiques qui m'amène à découvrir le monde. S'en suit différentes missions à l'étranger, en Allemagne, Italie et Perse. Actuellement, entre Paris et Londres, pour négocier différents accords entre la France et Les Royaumes-Unis.
Dr Archibald Broose (1868-)
Né en 1868 à Stanford, campagne anglaise. Père médecin, mère au foyer s'occupant de la ferme. Frère né en 1882 (14 ans de moins que moins) : Andrew. Fait des études de médecine à Londres pour suivre la voie de papa et s'y installe pendant que mon frère reste à la ferme et aide ma vieille mère (père mort il y a deux ans, en 1920). A Londres, rencontre Margareth qui deviendra ma femme en 1902 et aura une petite fille (Agatha) en 1916 (6 ans aujourd'hui). Médecin généraliste réputé dans le quartier, Margareth reste au foyer et s'occupe de l'appartement et du cabinet pendant que je consulte les patients chez eux le matin et l'après midi chez moi. Hobbie (depuis le début des études) : l'Histoire.
Henri Capdeville (1887-)
Né en 1887 à Amiens, d'un père instituteur et d'une mère au foyer. Ainé de trois enfants. Enfance heureuse dans la petite bourgeoisie locale. Henri Capdeville est un adolescent solitaire et féru de littérature. Il suit donc tout naturellement des études de Lettres Classiques jusqu'à décrocher une thèse. Contrairement aux souhaits paternels, il ne se consacre pas au professorat mais au journalisme. Il couvre les premières batailles de la Grande Guerre pour Le Républicain Lorrain et sera d'ailleurs blessé grièvement à la jambe et sera évacué. Entre au Figaro comme grand reporter en 1917 au service de Louis de Mourin.
Augustin Pierrepont (1895-)
C'est lors d'un voyage à Bruxelles que Mr Pierrepont, vendeur d'armes de collection émérites, rencontra joseline Vermout, jeune serveuse dans un bar. Epris l'un de l'autre, leur union donna naissance à Augustin le 12 août 1895. Les affaires suivant son court, Joseline dû éléver Augustin seule, mais son nouvel emploi comme gardienne, lui permit de subvenir au besoin du jeune garçon. Augustin grandit parmis les enfants de notable, et d'artiste connus de la ville. Son père passant de temps à autre, il lui transmis l'amour des belles armes, c'est donc tout logiquement qu'il se tourna vers des études d'art.
C'est le 27 juin 1916 qu'augustin obtenu son diplôme, c'est le même jour qu'il appris la mort de son père, décédé lors de la Bataille de Verdun. Quelques mois plus tard, il reçu une caisse pleine de vieille armes, seul héritage de son père, ce qui l'ammena à investir dans une petite affaire d'antiquité - brocante à la périphérie de Bruxelles. Fréquentant le soir ses quelques amis d'études, il passa du temps à restaurer les armes de son père et à trouver quelques bonnes affaires dans la brocante dans l'espoir de se consacrer uniquement aux armes de collections. Sa boutique servais aussi à exposer les tableaux de quelques artistes encore méconnus, mais sa compassion pour ses amis d'enfance lui donnait tout espoir dans leur réussite.
Sir Welton Charles Hull (1864-)
Né dans la haute société britannique de la côte est, Welton se révèle très vite passioné pour les études. Il passe avec succès de nombreux examens, reçoit de nombreux prix, écrit de nombreux livres et articles. Il voyage jusqu'en Mongolie, passant par l'Asie centrale, où il séjourne un certain temps au Tadjikhistan et en Azerbaidjan. Il tourne ensuite ses recherches vers la Turquie et devient le plus grand spécialiste anglais des langues turco-mongoles en publiant : Paroles de nomades, étude linguistique entre l'Inde etl'Europe. Depuis quelques années, il s'est tourné vers les études du monde arabo-musulman et promet de nouveaux ouvrages. Il voyage beucoup pour son plaisir et ne donne que de rares cours et conférences. Son épouse Mary est en effet décédée deux ans auparavant et cet événement l'a rendu quelque peu mélancolique. Il aime à passer ses soirées seul, fumant et buvant, traduisant sans cesse d'anciens ouvrages...
Marvin Douligan (1899-)
Né à Oxford dans la clinique Victoria de parents domestiques pour les lords Montgomery dans un manoir à Oxford. Fils aîné, mes parents ont toujours insisté pour que je fasse des études. C'est grace à eux si j'ai obtenu ma licence de droit à Oxford. Ma soeur Agata Douligan n'a qu'un an de moins que moi. Elle a fait des etudes de coutûre et a migré pour la France ou elle travaille actuellement à Paris. Mes deux frère jumaux ont eux 5 ans de moins et sont tout deux passionnés de mécanique. Ils travaillent pour Austin. Je leurs ai payé un studio sur Londres. Pendant mes études je travaillé le soir dans une boulangerie et un soir ou je faisais frire des baignais alors que j'avais bu je me suis brulé au 3 ém degrés sur presque la moitié du corp en ranversant le chandron d'huile sur moi. J'ai passé plus de 6 mois a l'hopital et m'en suis sortis défiguré. C'est alors que j'ai décidé d'agir dans l'ombre et de devenir détective. mes premiers boulos ne furent pas tres en accord avec la loie mais il me permirent de tisser un reseau dans le bas londres et d'économiser pour acheter mon cabinet en plein centre de londre dans Farrindgon street. Depuis je fais mon beurre essentielement sur des affaires de cambriolage de bijouterie ce qui paye bien et parfois même de poche a poche en bijoux ! mon meilleur amis c'est bill il est gérant d'un bistrot a white chapel c'est également pour moi un tres bonne informateur. Depuis mon accident je n'ai plus connu l'amour, et je vois mal vue mon physique mutilé comment sa pourait s'aranger.
Eléonore Tillier (1898-)
Professeur d'histoire et français. Née à Meaux, le 12 janvier 1898 de Félicien Tillier, fabricant prospère de machines agricole et Gilberte Récamier. Frère ainé Edouard ( 28 ans clerc de notaire ) petit frère Georges ( 19 ans étude de mèdecine ).
Enfance heureuse à Meaux, dans une famille fort aisée, Eléonore décide de poursuivre ses études afin de devenir une femme indépendante, ce qui lui vaudra quelques facheries avec sa mère qui la trouve trop "moderne" à son goût. Après avoir ambitionné des études de droit comme son frère ainé qu'elle admire, elle se passionne tout à coup pour l'histoire et pour la periode antique en particulier. Elle obtient sa licence avec félicitations du jury et commence à enseigner au lycée Richelieu à Paris. Là, elle rencontre Lucien Crémieux, professeur d'histoire également, avec qui elle a une liaison. C'est lors d'un séminaire au Collège de France qu'elle entend parler de la Confrérie du Phaéton et qu'elle décide d'en faire partie. Elle en est membre depuis un an.
Outre son métier et sa passion pour l'histoire, elle collectionne les timbres, elle possède une cave avec quelques précieux vins millésimés et pratique assidûment le tennis au Bois de Boulogne ( Tennis-club de Roland Garros ).Elle vit actuellement seule avec trois chats, au 3bis rue du pot-de-terre dans le XVe.
Pierre-Yves Leduc d’Archambaud (1894-)
Né à Senlis en 1894, Pierre-Yves grandit dans une famille modeste mais aisée. Il ne réussit guère en classe et se trouve mobilisé en 1914. Blessé au cours de la bataille de la Marne, Pierre-Yves échappe ainsi à la poursuite des hostilités et à l’horreur des tranchées. Il en profite pour se lancer dans les affaires et la conjoncture lui est favorable. Il amasse rapidement beaucoup d’argent grâce aux achats et ventes d’immeubles industriels. Il se marie avec Hélène d’Archambaud en 1917 et accole le nom de son épouse au sien pour « faire plus aristocrate ». Pierre-Yves est par ailleurs passionné de chasse (qu’il pratique avec son ami Geoffroy), de voitures de sport et de statues grecques… C’est pour cette dernière passion qu’il intègre en 1920 la Confrérie de Phaéton. L’année précédente, Hélène avait donné le jour à Martin-Louis. Pierre-Yves travaille la semaine à Paris et passe ses week ends auprès de sa famille dans leur propriété de Senlis. Il a acheté il y a peu une petite maison en Bretagne où ses parents vivent leur retraite. Pierre-Yves a également un frère : Jean-Jacques.
Amanda Lesueur (1880-)
Amanda Plisson est née le soir du 14 août 1880 dans le XVème arrondissement de Paris., fille unique d’un père policier et d’une mère au foyer. Durant son plus jeune age, la vie n’était pas rose à la maison, son père rentrant tous les soirs ivre et frappant sa mère pendant que la petite Amanda pleurait dans sa chambre. C’est pourquoi elle cherche l’évasion dans les livres et se montre très tôt intéressée par l’histoire, en particulier la période Grecque Antique.
Durant ses études, elle s’oriente donc vers cette voie n’ayant que peu de temps à accorder à sa vie sentimentale et quittant le domicile familial très tôt pour s’installer dans une chambre de bonne payée par des petits boulots. Elle s’intéresse alors de plus en plus à la Grèce et à ses mythes qui l’intriguent et la passionnent énormément. C’est alors qu’elle dirige ses recherches personnelles vers l’occultisme, persuadée que les mythes – grecs ou autres – possèdent une part de vérité. C’est à cette époque aussi, en 1902, qu’une de ses amies, Christine Bolon, l’invite à une soirée spiritisme dans le manoir de son oncle, en banlieue parisienne. Durant la séance – il y avait cinq personnes autour de la table – Amanda ressentit un souffle froid dans son dos et fut persuadée qu’il s’agissait de l’esprit de sa grand-mère qui venait lui parler. Amanda était comme subjuguée par cette présence qu’elle sentait derrière elle mais la séance fut interrompue trop tôt car la table ne tournait pas… Bien sûr, personne d’autre n’avait ressenti la présence de l’esprit mais Amanda savait ce que sa grand-mère était venue lui dire : qu’il existait bien un monde invisible où les esprits errent et nous observent. Il y en a de bons mais aussi de mauvais.
Elle s’intéresse alors encore plus à l’occultisme et se découvre des pouvoirs de voyante et d’astrologue. En 1908, à 28 ans, elle s’installe comme astrologue officielle et reçoit ses premiers clients. Quand elle n’arrive pas à lire l’avenir elle invente une histoire plaisante – il faut bien se nourrir – et lorsqu’elle voit un sombre avenir, elle ment et raconte le contraire – un client déçu ne revient plus… Mais ses visions se réalisent souvent et elle obtient alors une certaine reconnaissance du milieu ésotérique parisien et se fait rapidement appeler Mme Amanda. Elle participa alors à de nombreuses réceptions où elle croise le gratin du milieu occulte parisien. C’est en 1911 qu’un de ces nouveaux amis – le Professeur Smith – lui propose de rentrer dans la Société de Phaeton. Elle n’hésite pas un seul instant.
Elle poursuit alors encore plus assiduement ses recherches occultes et lit de nombreux livres sur le sujet. L’un d’eux, qu’elle découvre en 1914 à la Bibliothèque Nationale de Paris, la marque particulièrement. C’était un petit livre très usé. Il devait avoir au moins 70 ans vu l’état des feuilles et était totalement écrit en grec. De plus, la page où figurait le nom de l’éditeur avait été arrachée. Il s’intitulait simplement « Des Pouvoirs des Plantes » et l’auteur était un dénommé Théodorus Philetas. L’ouvrage contait de sombres histoires de Dieux anciens qui voudraient envahir le monde et «les Choses de la Terre seront Leurs Instruments ». L’ouvrage parlait également des pouvoirs occultes que pouvaient contenir les plantes et les herbes et Amanda parvint à comprendre comment fabriquer « Le Breuvage de Létho », une mixture composée d’herbes et de magie blanche qui faisait perdre la mémoire à celui qui la buvait… Amanda orienta alors ses recherches vers la botanique, essayant d’en savoir plus sur les plantes et leur mysticisme.
Mais le temps passe et Amanda n’a toujours pas d’époux. Non qu’elle en veuille un particulièrement mais c’est assez mal vu dans la haute société. En 1916 elle apprend la mort de son père au front. Il était un lâche qui battait sa femme et qui, devant le véritable ennemi, ne parvint qu’à mourir. Amanda n’avait pas envie de subir le même sort que sa mère et resta célibataire jusqu’en 1918. Alors agée de 38 ans, elle rencontre un homme revenant de la guerre lors d’un dîner organisé par des amis communs. Il est charmant, pas trop amoché par la guerre, cultivé, avocat dans le civil donc riche et célibataire. Bref, il fera l’affaire comme mari puisque la société l’exige ainsi. Amanda se marie le 3 janvier 1919 avec Charles Lesueur dans un froid glacial au propre comme au figuré. Elle vit depuis avec lui mais n’a que rarement fait l’amour et n’a évidemment toujours pas d’enfant.
En 1922, la Société de Phaeton acquière une pierre grecque traitant des dix muses. On y découvre également l’invocation complète de la Muse de l’Horreur et de l’Effroi – Celle dont on ne connaît pas le Nom. Amanda est alors l’une des instigatrices de l’expérience : invoquer la Muse et nous faire tour oublier pour lui échapper grâce au Breuvage de Létho apprit quatre ans plus tôt. C’est ce qu’elle et ses compagnons de la Société de Phaeton firent. Mais il était trop tard. Les membres de la Société commencèrent à mourir atrocement à intervalles réguliers. La Malédiction de la Dixième Muse avait commencé. Amanda était peut être cette fois allé trop loin dans ses recherches occultes. Mais il y avait un moyen d’y contrecarrer : un temple en Grèce. Accompagnée de ses amis de la Société, Amanda, après un détour par Londres, embarqua à bord de l’Orient Express…
Miranda Noix (Bertha Noïs) (1886-)
Bertha est la deuxième fille de Mr et Mme Noïs, un couple vivant dans l'ombre de la haute société parisienne. Venu du Danemark un peu par hasard, Nicolaï Noïs fonda à Paris un petit commerce de vente de bois qui prit peu à peu de l'ampleur. Quand l'aîné de ses trois fils, finit ses études, il aida son père dans la gestion du "Aux Bons Bois de Noïs". L'entreprise prit alors son essor. : Ils firent main basse sur leurs concurrents direct ( « Les Bois Revin ») et se spécialisèrent dans les essences Orientales. La firme fut rebaptisée « Bois O. Noïs - Bois Revin » Le fils cadet, austère et réservé, mais doué pour la finance décida de rester en dehors de la firme et de s'employer à gérer les actifs, les biens, et tous ce qui concernait la vie familiale des Noïs. Il rencontrât au cours de ses rares sorties en plein air, la fille d'un petit commerçant de Montmartre. L'amour des chiffres et des comptes rond les unis. Miranda naquit un frais matin de Mai, au sein de se couple pâle et sobre. Contrairement à sa soeur aînée, qui était le produit d'un savant calcul acrobatique, Miranda fut le fruit d'une retenue oubliée. Ses parents n’eurent que peux d’attentions pour elle, cependant elle reçu une bonne éducation. A seize ans le conflit éclatât : Elle, fille de l’ombre voulait s’orienter dans le spectacle, contre l’avis familiale. Au grand soulagement de ses parents, Bertha s’enfuit à 17ans, sans ressources. Elle réapparut 4ans plus tard, sous le nom de Miranda Noix au concours d’entrée au conservatoire, vêtue d’une robe simple, et avec seulement quelques sous en poche. Le directeur fût impressionné qu’une fille au corps si petit et frêle puisse avoir un regard aussi dur et une voix si posée. Elle obtint une bourse. Nul ne sait ce qui était advenu à Bertha pendant ces quatre années. A 21ans elle entra donc au conservatoire. Il fut vite évident qu’elle excellait dans la tragédie. On la dirigea rapidement vers la comédie française (dont elle devint sociétaire à 28ans). Elle fit son grand début sur scène dans Antigone. Un journaliste nota : la pureté de ses traits et de sa voix l’élèvent aux dessus des mortels pour la placer sur le piédestal des personnages tragiques. Tandis que la tendre résignation de son regard dans lequel se mêle une tristesse insondable, comporte un tel humanisme, qu’Antigone n’est plus un personnage froid et distant. Quand elle se donne la mort, on croirait lire sur son visage à la fois une délivrance et un profond regret. Miranda Noix a créé une Antigone, Incarnée, porteuses de tous les espoirs et de toutes les folies des hommes. Bien vite Miranda fut surnommée « la petite Antigone du français » et c’est sous ce nom qu’elle reste la plus connue. C’est à la mort de son grand père, avec qui elle reprit contact, que Miranda se décida enfin à revoir ses parents. Les retrouvailles furent pour le moins austères. Avec la petite somme léguée par son grand père, elle s’achetât un petit appartement rue louis le Grand. La passion pour la Grèce antique lui vint au cours de ses recherches sur la tragédie. Elle étudia le grec antique à l’université, et apprit un peu de grec moderne au cours de ses quelques voyages à Athènes. Dans une soirée mondaine elle fit la connaissance de plusieurs membres de la confrérie phaéton, qu’elle rejoignit peu après. Ayant acquise dans sa jeunesse une agilité et une force physique étonnante pour une femme, le dur métier d’actrice et la pratique occasionnelle de sports (tel que l’équitation) lui permirent de conserver une bonne forme physique. Pourtant dotée d’une certaine grâce et de jolis atours elle ne fit aucune rencontre amoureuse décisive. Elle eu comme amants certains comédiens renommés, mais leurs relations ne durèrent jamais longtemps. Ses amis les plus proche avoue qu’elle a en privée un comportement parfois étrange. Son caractère est changeant, parfois exubérante, elle peut l’heure suivante, être aussi fermé qu’une huître. Certains disent qu’elle disparaît parfois des nuits entières, et en revient épuisée.
Jacques Bontrant (1885-)
Né le 15 janvier 1885 a Beauvais, fils unique d’une famille bourgeoise je démontre dés mon plus jeune age des talents d’athlète. Je participe à 16 ans a la course de vélo cycliste du Paris - Roubaix . A 17 ans on m’envoie a Paris pour faire des études littéraire a la sorbonne. Mais bien plus que les bouquins ce que je découvre a la faculté c’est le club de combat de canne ou je rencontre le maître Yves Capet qui décèle en moi les capacité pour devenir un champion. Il fait de moi son outsider et je parcours vite toute la France a la recherche de digne combattants. Nous sommes depuis, toujours resté de très bon amis. C’est a Lille que je rencontre a 20 ans Émilie qui tombe très vite enceinte de mon fils Sébastien, nous décidons alors de nous marié et de nous installer sur Paris sur la butte Montmartre. Pour complété mes gains et subvenir aux besoins de ma famille, je décide de travailler dans une librairie du quartier latin a mi temps pour pouvoir continuer les combats de canne. Ma vie de famille se déroule depuis sans accroc bien que je ne me souviennes plus des événements de ces derniers mois. Ah oui, j’oubliais ! J’ai rencontré un soir ou je fermais la librairie un certain MonsieurJacques Royan qui m’a beaucoup parler d’ésotérisme. Intriguer j’ai accepter son invitation au club de Phaéton ou je vais depuis souvent fumer des cigares qui provienne directement de Cuba et écouter les élucubrations de fanatique. Récemment je me souviens avoir tenté un sortilège mais mes souvenirs reste flou...
Thérèse Durand (-)
Née dans une famille de fermier, près Dieppes. La vie était rude chez ses parents, contrairement à sa soeur qui n'a pas eu accès à l'école, Thérèse devait assumé ses études et le travail à la ferme.
Voyant très peu son père, toujours à travailler dès le levé du soleil dans ses champs, se fut sa mère qui eu la pleine charge de son éducation. La petite Thérèse, se souciant peu du lendemain, se faisait très souvent reprendre par sa mère, et de manière rude. Les coups de fouet faisaient partis de la famille, tout comme leur vieux chien.
Les seuls moments de quiétude étaient ces moments passé sur la plage, Thérèse aimait souvent se cacher dans une grotte que l'on apercevait au pied d'une falaise. L'entrée était toujours étroite pour un adulte, mais, une fois à l'intérieur, l'impression d'entrée dans un nouveau monde attirait toujours Thérèse, même le noir persistant ne lui faisait pas rebrousser chemin. A 12 ans, après une réprimande de sa mère, qui s'emblât durer des heures, elle réussi à s'enfuir de sa chambre, pris un roman de "" quelque biscuit et partis dormir dans sa grotte préféré. A peine trois pages lus, qu'elle s'endormit au son des vagues qui venait s'écraser non loin de là. Elle fut réveillée par un bruit, ou plutôt l'absence total de sonorité. il faisait toujours nuit dehors mais la mer semblait figé dans le temps. Soudain, du fond de la grotte, un son strident lui fit perdre l'équilibre, son coeur se mit à battre si fort, elle voulus sortir mais ne pus se relever, un souffle chaud lui traversa le cou, elle sentait une présence quelque chose qui la tétanisa, de force elle réussi à se rouler en boule, la tête entre les jambes, elle secouat la tête et fit une prière de ne plus être une méchante fille, prière devenu litanie, puis soupir... "he ho, Thérèse" ce fut son père, qui avec l'aide de son chien Napoléon retrouva sa fille encore endormis au pied de la grotte. Elle passa une semaine au lit, souffrant de fièvre et de cauchemar récurant. Elle ne mis plus les pieds dans cette grotte, et comme promis, travaillât dure pour que sa mère ne la réprimande plus.
A l'âge de 20ans, elle fini ses études financières. Elle réussi à trouver un travail près de la Bourse, mais son statut de femme ne lui offra qu'un emploi de secrétaire auprès du Directeur de la Banque. De nature plutôt introvertie, elle resta plusieurs années sans rencontrer l'âme soeur, puis un soir, après avoir passée le début de soirée à préparer une conférence pour son patron, elle partis diner dans la brasserie du coin de la rue. Lors de son repas, un groupe, placer derrière elle, discutait de fait étrange qui ont parsemé l'histoire des hommes. D'évènements non relevés dans les journaux, ou de fait devenu par la suite des mythes, puis des légendes, mais toujours en affirmant que leur origines sont plus que réel. Ce fut pour Thérèse l'occasion de dire ce dont elle n'avait jamais osé parlé, son expérience cette nuit dans la grotte. Après s'être présentée et insistant sur l'interêt réel qu'elle pouvait éprouvé suite à la discussion dont elle avait été témoin, thérèse leur racontat cette histoire plutôt étrange. Les personnes présentent, suite à son récit, lui parrure plutôt septique, l'un de même lui demanda si finalement elle n'avait pas pris l'un de ses rêves comme la réalité. mais peut importe, elle passa la soirée avec eux et par la suite les revus toute les semaines dans cette taverne, chacun devant ramener des récits encore inconnu de ce petit groupe.
Plusieurs années passèrent ou Thérèse passa de plus en plus de temps dans les vieilles librairies à receuillir des informations sur des mythes oubliés. Peut être trouverait-elle un témoignages proche de son histoire passé.
A 35 ans, Thérèse pus enfin s'offrir une petite maison bien situé, dans sa région natale. Son expérience dans la banque à Paris lui permis facilement de trouver un bon poste dans la seule banque de Dieppes. Mais malgré tout, elle retournait souvent, les week-ends ,dans la capitale. Son expérience, qu'elle considerait comme mystique, l'intriguait toujours autant. Au fil du temps, c'était devenu comme une obsession,et les différentes remarques, sur sa soit disant expérience, la rendait encore plus acharnée dans ses recherches.
C'est suite à une rencontre dans une de ses librairies favorites qu'elle passa la soirée auprès de ceux qui plus tard, formerons la Société de Phaeton. Son dernier espoir pour, peut être, enfin entrevoir la vérité.